Qu'est-ce qui vous a motivé à travailler avec des étudiants étrangers et une université américaine ?

« J'ai toujours eu le goût de l'Autre, c'est-à-dire, celui qui n'est pas comme moi. Dès 16 ans, curieuse d'autres cultures, je suis partie de chez moi pour découvrir une nouvelle culture, une nouvelle langue. Ce programme me permet de transmettre cette passion et d'accompagner les étudiants qui ont cette curiosité pour l'Autre. Pouvoir faire partie de cette parenthèse enchantée dans leur vie est un vrai privilège ».

 

Quel est l'aspect le plus difficile ou le plus complexe de votre nouveau métier ?
« La partie la plus difficile mais aussi la plus stimulante de ce poste concerne la multiplicité des tâches? Il y a un aspect pédagogique et relationnel très important qui m'intéresse beaucoup. L'aspect administratif est tout aussi important. On a plusieurs casquettes en permanence. Le fait d'accueillir un groupe d'étudiants dans un contexte étranger représente également une responsabilité majeure ».

 

Finalement, avez-vous des projets ou des idées à mettre en place pour les générations suivantes ?

« Bucknell en France est un programme qui est bien défini. Je souhaiterais continuer le travail déjà bien entamé par nos collègues et continuer d'améliorer l’intégration des étudiants à Tours, et la promotion du programme en France et aux États-Unis ».